Comment créer des liens plus profonds avec les gens

Créer des liens plus profonds

Dans la continuité du leadership et de l’influence, il existe une force silencieuse mais puissante : le fait de créer des liens profonds et durables avec les autres.
Car que vaut le leadership sans confiance ? Que vaut l’influence sans relation ? Rien de solide ne se construit sans connexion sincère et durable.

Dans un monde qui valorise l’efficacité plus que la profondeur, nos relations deviennent parfois superficielles. On interagit, mais on ne se comprend plus vraiment. Pourtant, le besoin de lien reste universel : être entendu, reconnu, compris.

Créer des liens profonds, ce n’est pas attendre que cela se fasse tout seul.
C’est faire l’effort conscient de rejoindre l’autre là où il en est dans son cheminement, de comprendre ce qu’il traverse, ce qu’il vit, ce qu’il ressent.
C’est chercher à établir un pont, un espace de rencontre sincère.
Le lien se construit, il ne se consomme pas.

Il ne s’agit pas de parler davantage, mais d’écouter mieux.
Pas seulement d’être là, mais d’être pleinement présent à l’autre.

Dans cet article, nous verrons 8 étapes pour créer des connexions humaines plus profondes, plus vraies, que ce soit dans la sphère familiale, professionnelle, amicale ou sociale.
Parce qu’au fond, c’est la qualité de nos liens qui donne du poids à notre influence, et du sens à notre leadership.

Voici 8 étapes pour créer des liens profonds

1. Accorder de la valeur aux gens

Créer des liens profonds commence toujours par une attitude intérieure : considérer que l’autre a de la valeur, indépendamment de ce qu’il fait ou de ce qu’il peut t’apporter.

Dans un monde où les relations deviennent souvent utilitaires, se démarquer par une approche authentique est puissant. Les gens ressentent quand ils sont écoutés par intérêt… ou avec respect.
Valoriser quelqu’un, c’est le regarder comme important. Je pense en premier lieux à la cellule familiale. Cela passe par des choses simples mais sincères :

  • l’écouter sans l’interrompre,
  • ne pas le juger trop vite,
  • se souvenir de ce qu’il t’a confié,
  • lui montrer qu’il compte, même quand il n’est pas “utile”.

Un regard qui estime, un mot qui élève, un geste qui montre qu’on le voit : tout cela nourrit profondément le cœur de l’autre.

Accorder de la valeur, c’est semer les graines d’un lien sincère.
On ne crée rien de vrai si on ne commence pas par honorer la personne en face de soi.

Aller à la rencontre des autres

2. Aller vers les autres

On ne crée pas de lien profond en restant dans l’attente que l’autre fasse le premier pas. Il faut oser aller à la rencontre, même si cela implique une forme de vulnérabilité.
Trop souvent, on laisse des liens potentiels mourir dans le silence simplement parce qu’on attend un signe… qui ne vient jamais. Pour être efficace, le leader doit faire le premier pas.

Aller vers les autres, ce n’est pas envahir leur espace, c’est montrer une volonté d’ouverture :

  • engager une conversation avec simplicité,
  • envoyer un message, prendre des nouvelles,
  • créer des occasions d’échange sans calcul.

C’est aussi accepter le risque de ne pas être accueilli comme on l’espère — mais le lien ne se construit jamais sans cette prise de risque.
Et paradoxalement, ce sont souvent ceux qui semblent les plus fermés qui ont le plus besoin qu’on aille vers eux.

Celui qui attend reste seul. Celui qui ose, crée.
Les relations profondes naissent toujours d’un pas vers l’autre, pas d’un retrait prudent.

Aller vers les autres, c’est l’acte fondateur de toute connexion humaine : une main tendue qui dit “tu existes pour moi”.

3. Être en accord dès le départ

Créer des liens solides, ce n’est pas seulement sympathiser : c’est poser des bases claires, cohérentes et saines dès le début de la relation.
Cela ne veut pas dire tout contrôler ou figer les choses, mais plutôt s’assurer que la relation repose sur un terrain d’entente mutuel, où les attentes sont réalistes et partagées.

Être en accord, c’est :

  • clarifier ce que l’on attend de la relation (amitié, collaboration, soutien…),
  • respecter l’espace et les limites de chacun,
  • cultiver un terrain d’honnêteté dès les premiers échanges.

Lorsque les bases sont floues, les malentendus surgissent vite. Et plus tard, c’est souvent plus difficile de recadrer.
Dans ces moments-là, l’écoute et l’empathie deviennent des leviers essentiels : quand on perçoit une hésitation ou une tension, il est important de faire un pas vers l’autre, de ressentir ce qu’il éprouve et comprendre ses sentiments, afin de le rejoindre sur un terrain commun.
Ce réajustement émotionnel permet de repartir ensemble dans une direction claire et partagée — un atout majeur pour créer un lien solide et durable.

Un lien sain commence par une relation claire.
Pas de masque, pas de manipulation, mais de l’alignement humain et émotionnel.

Être en accord dès le départ, c’est respecter l’autre dès le premier pas. C’est commencer juste, pour construire fort.

4. Savoir ce qui compte pour eux

On ne peut pas créer de lien profond avec quelqu’un sans chercher à comprendre ce qui est important pour lui.
Ses valeurs, ses priorités, ses blessures, ses passions — voilà ce qui définit la personne au-delà des apparences. Quand on touche à ce qui compte pour quelqu’un, on ne parle plus à son rôle ou à son image, mais à son humanité.

Cela demande de l’écoute, de la curiosité sincère, et surtout de laisser de côté nos filtres personnels pour vraiment entendre l’autre.

Savoir ce qui compte pour quelqu’un, c’est :

  • lui poser des questions qui vont au-delà du banal,
  • observer ce qui le touche, l’énerve ou l’enthousiasme,
  • reconnaître les choses auxquelles il tient… même si ce n’est pas ce que toi tu aurais choisi.

Lorsqu’une personne sent que tu comprends ce qui est essentiel pour elle, elle s’ouvre.
Elle se sent respectée dans ce qu’elle est profondément.

C’est un principe particulièrement vrai dans la relation parent-enfant. Trop souvent, on projette sur nos enfants ce que l’on pense être bon pour eux… sans réellement écouter ce qui compte pour eux à leurs yeux. En prenant le temps de comprendre leurs rêves, leurs besoins, leurs peurs, on renforce non seulement la qualité du lien, mais aussi notre influence positive en tant que parents.
Un enfant qui se sent compris est un enfant qui fait confiance.

Créer un lien authentique, c’est donc faire l’effort d’entrer dans l’univers de l’autre, pour le comprendre depuis son point de vue — qu’il soit notre ami, notre collègue, ou notre propre enfant.

Nos personnalités sont différentes !

5. Reconnaître leur personnalité

Chaque personne a une façon unique d’interagir avec le monde. Certains sont directs, d’autres plus réservés. Certains ont besoin de stimulation constante, d’autres de calme et de sécurité. Pour créer un lien profond, il est essentiel de reconnaître et respecter la personnalité de l’autre, sans chercher à la modifier.

On peut distinguer 4 traits de personnalité principaux que l’on retrouve fréquemment :

  1. Le dominant (ou directif) – aime décider, aller droit au but, déteste perdre du temps.
    → Avec lui : sois clair, structuré, efficace. Pas de détours inutiles.
  2. L’influent (ou expressif) – sociable, enthousiaste, aime être écouté et valorisé.
    → Avec lui : montre de l’intérêt, encourage, sois dynamique.
  3. Le stable (ou conciliant) – calme, patient, loyal, a besoin de sécurité.
    → Avec lui : adopte une approche douce, rassurante, évite les brusqueries.
  4. Le conforme (ou analytique) – précis, réfléchi, aime les règles, les faits, la rigueur.
    → Avec lui : sois logique, préparé, respecte les détails et la structure.

Reconnaître ces profils permet non seulement de mieux comprendre les réactions de l’autre, mais aussi d’adapter notre communication de manière respectueuse et constructive.

Quand on s’accorde à la personnalité de l’autre, on cesse d’imposer.
On entre dans une véritable connexion — celle qui laisse la personne respirer.

C’est particulièrement vrai dans nos relations les plus proches. En tant que parents, amis ou partenaires, reconnaître la personnalité de l’autre, c’est lui dire :
« Tu as le droit d’être toi, et je t’accueille comme tel. »
Et c’est à partir de là que naît un lien solide, fondé non pas sur la conformité, mais sur la compréhension profonde.

6. Être sincère et avoir du cœur

Créer des liens profonds ne se fait pas en jouant un rôle. Les gens ressentent instinctivement quand on est vrai… et quand on ne l’est pas. La sincérité, combinée à une intention bienveillante, est l’un des leviers les plus puissants pour bâtir la confiance.

Être sincère, ce n’est pas dire tout, n’importe comment. C’est :

  • être honnête sans blesser,
  • assumer ce que l’on pense sans manipuler,
  • aligner ses mots avec ses actes.

Mais la sincérité seule ne suffit pas : il faut aussi avoir du cœur, c’est-à-dire agir avec empathie, chaleur et respect. C’est cette combinaison qui crée une présence rassurante et authentique, une présence qui donne envie de s’ouvrir.

On n’écoute pas seulement les paroles.
On écoute l’intention derrière. Et c’est le cœur qui la rend crédible.

Dans nos relations personnelles comme parentales, cette sincérité bienveillante éduque autant qu’elle élève. Un enfant, un ami, un collègue n’a pas besoin d’un masque : il a besoin d’une personne vraie, qui agit par conviction et non par intérêt.

Et c’est dans cette transparence sincère que naissent les liens les plus solides, les plus humains.

7. Vivre des expériences communes

Les liens profonds ne se construisent pas uniquement avec des mots : ils se vivent. Partager des moments réels, traverser des situations ensemble, affronter des défis ou simplement créer des souvenirs — voilà ce qui ancre la relation dans le concret.

Les expériences communes, même simples, permettent de :

  • créer de la complicité naturelle,
  • renforcer la confiance mutuelle,
  • révéler la vraie nature des personnes, hors des masques.

Ce qu’on traverse ensemble a plus de valeur que ce qu’on explique.
Car l’expérience partagée crée des racines.

Cela peut prendre la forme :

  • d’un projet mené ensemble,
  • d’un voyage, d’une activité sportive ou créative,
  • d’un moment difficile traversé côte à côte.

Dans le cadre familial, par exemple, faire des choses avec ses enfants, et non juste pour eux, est une manière puissante de bâtir des liens durables. C’est aussi vrai dans les amitiés et les relations professionnelles : on se rapproche des gens en vivant quelque chose d’authentique avec eux, pas seulement en parlant.

Vivre ensemble, même brièvement, c’est tisser du vrai.

Être constant dans le temps

8. Être constant dans le temps

Créer un lien est une chose. Le faire durer en est une autre. Et c’est là que la constance devient essentielle.
Les relations profondes se nourrissent de continuité, de présence régulière et de fiabilité. Rien n’érode plus vite un lien que l’incohérence ou l’intermittence. La difficulté, n’est pas dans la prise d’une décision, mais principalement dans le maintien de l’action dans le temps.

Être constant, c’est :

  • être fidèle à ses valeurs dans le temps,
  • tenir ses engagements, même petits,
  • rester présent même quand il n’y a rien à « gagner ».

Un lien profond se construit comme une plante : pas à pas, avec soin.
Pas avec des gestes spectaculaires ponctuels, mais avec des attentions répétées.

Dans la sphère familiale par exemple, ce n’est pas un seul week-end extraordinaire qui bâtit une relation solide avec un enfant, mais plutôt une accumulation de moments réguliers, d’écoute, de disponibilité.

La constance rassure. Elle montre à l’autre qu’il peut compter sur toi, qu’il n’a pas besoin de mériter ton attention à chaque fois. Et cette stabilité émotionnelle est un fondement pour les liens sains et profonds.

Construire des liens

Conclusion : Créer des liens, c’est choisir de construire

Dans un monde où les relations sont souvent rapides, superficielles ou intéressées, créer un lien profond est un acte volontaire, presque contre-courant.
Ce n’est ni une question de hasard, ni de talent social. C’est un choix. Celui de s’ouvrir, de comprendre, d’accueillir l’autre tel qu’il est… et de s’engager à construire quelque chose de réel.

Créer un lien, c’est :

  • accorder de la valeur à l’autre,
  • faire l’effort d’aller vers lui,
  • prendre le temps de le comprendre,
  • et surtout… rester présent dans la durée.

Que ce soit dans notre famille, avec nos enfants, dans nos amitiés ou au travail, ces liens solides ne sont pas simplement des bonus de la vie : ils en sont le cœur.

Et n’oublions jamais :

La profondeur d’un lien ne dépend pas du nombre d’années, mais de la qualité des moments partagés.

Investir dans les gens, c’est investir dans ce qu’il y a de plus durable et de plus humain.
Et chaque petit geste compte. Les grands leaders le savent, et, c’est ce qu’ils font.

Pascal – Être & Croitre –

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18 commentaires

  1. Merci pour cet article très juste.
    Créer du lien, c’est aussi ce qui donne du sens!
    J’ai aimé la clarté des exemples et le ton si humain.

  2. Un très beau rappel que les liens profonds ne se construisent pas par automatisme, mais par choix et engagement. À une époque où les échanges sont souvent fonctionnels ou éphémères, prendre le temps de nourrir des relations authentiques devient un acte puissant et humain. Merci pour ce rappel:-)

    • Merci Joelle pour ton commentaire. Oui, tu as raison, les liens superficiels ne sont qu’éphémères, c’est certainement pour cette raison qu’à l’heure des réseaux sociaux ou tout le monde tisse des liens avec tout le monde tant de personnes se sentent seules au bout du compte…
      Pascal

  3. Le lien est tellement important!! Un essentiel pour moi. Je trouve que partager des moments et faire des choses ensemble permet effectivement de développer le lien quand une personne compte pour nous alors que nous pouvons avoir du mal à communiquer par manque de valeurs communes. Merci pour ce bel article!

  4. Merci Pascal pour cet article puissant. ✊ Je suis convaincue que la qualité de nos liens transforme aussi notre créativité. Quand un regard sincère, une présence constante ou un geste vrai existent, la personne ose créer, s’exprimer, se relier. C’est ce que j’applique dans les arts thérapies du monde.

    • Merci pour ton message, oui tu as raison, lorsque nous entamons une croissance personnelle nous ne pouvons qu’en tirer des bénéfices, parfois insoupçonnés. C’est magique, lorsque l’on travaille sur soi, on augmente son potentiel.
      Pascal

  5. Merci pour cet article très éclairant et inspirant. ☺️🙏

    Ce qui m’a particulièrement marquée, c’est la première étape : donner de l’importance à l’autre. En tant que prof, c’est quelque chose qui me parle profondément. J’ai à cœur de construire des relations de qualité, que ce soit avec les enfants que j’accompagne au quotidien, ou avec leurs familles. Et pour ça, je ressens un besoin fort de vraiment les connaître. Pas en surface, pas à travers des banalités — mais en creusant, en allant chercher ce qui fait qu’ils sont eux, ce qui les anime, ce qui les freine, ce qui les aide. Parce que plus je les connais, plus je peux être efficace dans ma manière d’enseigner, de les accompagner, de choisir les bons outils ou les bonnes stratégies pour les faire progresser. C’est presque une évidence pour moi : pas de lien, pas d’apprentissage profond.

    Et j’ai aussi été très sensible à cette idée que ce n’est pas la durée d’une relation qui la rend forte, mais sa qualité. J’ai dans ma vie des personnes que je connais depuis très peu de temps, et avec qui les échanges sont immédiatement profonds, sincères, riches. À l’inverse, il y en a d’autres que je côtoie depuis des années, et avec qui ça reste superficiel. C’est bien la preuve que le temps ne fait pas tout : ce sont l’intention, l’écoute, la présence et la profondeur des échanges qui donnent leur valeur aux liens.

    D’ailleurs, c’est presque devenu une nécessité pour moi. J’ai du mal, aujourd’hui, à entretenir des relations tièdes ou factices. Si je ne peux pas établir un lien vrai, je préfère m’en détacher. Même dans des interactions très courtes ou anodines — un commerçant, un inconnu dans la rue — je cherche toujours à créer ce petit pont humain, ce moment sincère, cette connexion qui me nourrit. Peu importe si je ne revois jamais la personne. Ce qui compte, c’est que ce soit vrai, fort, incarné — même l’espace de quelques secondes.

    • Merci Lison pour ton analyse très complète, ainsi que pour le partage de témoignages et d’expériences qui vont dans ce sens.
      Oui, les liens profonds et sincères ne peuvent être comparés aux relations superficielles et éphémères.
      Je te rejoins pleinement : même pour un instant, la connexion doit être vraie, authentique et sincère.
      Être faux n’apporte rien.
      Pascal

  6. Merci pour ce rappel ! On connais tous plus ou moins les divers conseils décrits dans cet article mais on a tendance à les oublier (enfin pour ma part). On a des tonnes de tâches à faire et parfois on oublie de créer ou d’entretenir des liens.

  7. Tu touches juste en disant : « Nous avons deux oreilles et une bouche, c’est pour écouter deux fois plus qu’on ne parle. » Cette phrase est marquante, car elle rappelle que l’écoute sincère est le cœur d’une connexion authentique. Merci : ton approche simple et bienveillante ouvre vraiment la voie au lien profond 🙂

  8. Merci pour cet article très riche sur un sujet trop banalisé. J’ai beaucoup aimé la distinction entre les liens qu’on construit et ceux qu’on consomme. Mais tellement d’autres choses aussi : que le lien est une prise de risque, et que sa profondeur dépend de la qualité des moments partagés : j’aime cette vision non-essentialiste (si je peux me permettre ce grand mot), surtout au sein des familles où on présente les liens comme allant de soi. Bref, ton texte résonne très fortement en moi et je t’en suis reconnaissante.

    • Un grand merci à toi, Eva, pour ton appréciation.
      Je pense souvent au milieu familial lorsque je commence à écrire un article, car c’est là que tout commence.
      La base de toute relation se construit au sein de cette cellule qu’est la famille.
      C’est là que naissent l’éducation, la guidance, l’influence, le leadership, la gestion des conflits… et bien d’autres sujets que nous avons abordés.
      Tout prend racine également dans la création d’une famille.
      Pascal

  9. Bravo pour ce bel article très complet. Je retiens particulièrement le point nº7 sur le fait de vivre des expériences communes. De nos jours, avec les messageries instantanées et tous les outils digitaux à notre disposition, on a tendance à croire que des textos dans tous les sens sont suffisants pour entretenir une relation, mais c’est une illusion. Il faut absolument passer du temps de qualité ensemble, en présence.

    • OUI Alexandra, tu as complètement raison, et je pense à toute cette jeunesse qui passe à côté d’expériences enrichissantes en créant de véritables liens. Alors même que dans chaque foyer les liens se perdent, chacun son écran. Je ne voudrai croire que le superficiel l’emporte sur les valeurs …
      Pascal

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